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Description archivistique
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lettre demandant un secours pour l’ancien serviteur de l’Académie, Gasperini Adinolfi, malade et dans l’impossibilité de continuer son service, et retenues des pensionnaires, états de service, pièces justificatives du 2e bordereau des dépenses, de Victor Schnetz

1854, septembre : lettre demandant un secours pour l’ancien serviteur de l’Académie, Gasperini Adinolfi, malade et dans l’impossibilité de continuer son service, et retenues des pensionnaires, états de service, pièces justificatives du 2e bordereau des dépenses, de Victor Schnetz, fol. 435-438bis

« Rapport sur les ouvrages envoyés de Rome, par les pensionnaires de l’Académie de France, pendant l’année 1855 »

1855 : « Rapport sur les ouvrages envoyés de Rome, par les pensionnaires de l’Académie de France, pendant l’année 1855 », du secrétaire perpétuel de l’Institut de France Fromental Halévy à Victor Schnetz, fol. 57-73

brouillons de lettres des directeurs Victor Schnetz et Jean Alaux, et du secrétaire Alexis René Le Go

Sans date : pochette contenant les brouillons de lettres des directeurs Victor Schnetz et Jean Alaux, et du secrétaire Alexis René Le Go à Achille Fould, ministre d’État, à Raoul Rochette, secrétaire perpétuel de l’Académie, à Grana, docteur de l’Académie, au transporteur, au Préfet à Rome, au ministre des Finances de l’État pontifical, au président de l’Académie des Beaux-arts, au banquier à Rome Marino Torlonia, à F. Mercey, directeur des Beaux-arts, à Halévy, secrétaire perpétuel de l’Académie des Beaux-arts, fol. 388-535

Ces brouillons sont décrits et reproduits aux notices suivantes.

Premier directorat d’Ernest Hébert (1867-1872)

  • FR ISNI 0000 0001 2158 9529 FR ISNI 0000 0001 2158 9529 20210377
  • Fonds
  • 1846 - 1876

Dauphinois d’origine, cousin de Stendhal, Ernest Hébert (1817-1908) se forme seul à la peinture, recevant les conseils de Benjamin Rolland, de David d’Angers et de Paul Delaroche. En 1839, il obtient un grand succès au Salon avec Le Tasse en prison. Il entre à l’École des beaux-arts de Paris et reçoit le prix de Rome en peinture en 1839. Il peint essentiellement la campagne romaine avec beaucoup de luminosité. À son retour en France, il devient un peintre renommé du Second Empire. Il exécute de nombreux portraits et bâtît une grande partie de son œuvre en puisant dans les souvenirs de ses séjours italiens.
Il est pensionnaire de la Villa Médicis de 1840 à 1844, puis, succédant à Joseph-Nicolas Robert-Fleury, directeur de l’Académie de France à Rome de 1867 à 1873. De retour en France, il est nommé professeur à l’École des beaux-arts de Paris de 1882 à 1885. Il assure un second directorat à l’Académie de France à Rome de 1885 à 1891.
Les pièces d’archives associées aux cartons de son directorat contiennent de nombreuses pièces en relation avec le directorat précédent de Robert-Fleury et le directorat suivant de Lepneveu (1873-1878), phénomène constaté à de nombreuses reprises dans les archives de l’Académie de France à Rome – Villa Médicis. Nous retrouvons, également, une organisation similaire aux directeurs qui l’ont précédé : de la correspondance – pour l’essentiel avec le directeur et la Maison de l’Empereur sous la tutelle de laquelle se trouve l’Académie de France à Rome, avec la direction des Bâtiments civils pour l’entretien de la Villa Médicis, puis avec la direction des Beaux-arts attachée au ministère de l’Instruction publique et des Cultes après la chute de l’Empire -, puis les tableaux de suivi des Envois des pensionnaires, et enfin les très nombreux devis, factures et quittances qui offrent aux chercheurs un tableau d’une très grande précision du fonctionnement de l’Académie de France à Rome dans les murs de la Villa Médicis.
La rigueur du suivi financier et comptable est toujours d’actualit ; les élèves de l’École française d’Athènes, nouvellement nommés, rejoignent la Villa Médicis, comme il en a été décidé sous le premier directorat de Victor Schnetz (Lablache en 1867, Mamet en 1868, Ruel en 1871, 20210377/1). Nous observons également une permanence notable des artisans qui œuvrent pour l’Académie depuis plusieurs directorats : les mouleurs Malpieri, les serruriers Giovanni et Paolo Concience, le menuisier Antonio Cassetta, ou le marchand de bougies Barberi. Parmi le personnel de la Villa, Alexis Le Go en est toujours le secrétaire depuis le directorat de Dominique Ingres, et Enneo Viscont assure toujours les cours d’archéologie aux pensionnaires. En revanche, nous notons le décès en 1869 de l’architecte de la Villa Luigi Poletti, en charge des travaux depuis 1850, remplacé par Benedetto ou Vespignani. L’Académie déplore également les décès de deux pensionnaires, Deschamps et Wintzweiller, avant que ne s’achèvent leurs pensionnats, et enregistre la démission du pensionnaire Caudou qui refuse de retourner à Rome.
Le directorat d’Ernest Hébert est marqué par la chute du Second Empire ; pour autant les pièces d’archives ne montrent aucun changement notable dans la vie quotidienne des pensionnaires, ni dans le fonctionnement au quotidien de la Villa Médicis. L’arrivée des nouveaux pensionnaires en 1870 et 1871 et leurs Envois ne semblent pas avoir été entravés ; le directorat d’Ernest Hébert semble s’achever sans heurt en 1872.

Académie de France à Rome

Directorat de Joseph-Nicolas Robert-Fleury (1866-1867)

  • FR ISNI 0000 0001 2158 9529 FR ISNI 0000 0001 2158 9529 20190154
  • Fonds
  • 1866 - 1867

Né à Cologne le 8 août 1797, Joseph-Nicolas Robert-Fleury est peintre d’histoire, dans un style troubadour, et membre de l’Institut. Formé dans l’atelier du peintre Antoine-Jean Gros, il perfectionne son art en Italie et débute au Salon de Paris en 1824. En 1850, il succède à François Marius Granet à l’Académie des beaux-arts. En 1855, il est nommé professeur et, en 1863, directeur de l’École des beaux-arts de Paris, avant d’assurer le directorat de l’Académie de France à Rome, en succédant à Victor Schnetz.
Le directorat de Joseph-Nicolas Robert-Fleury est de courte durée : arrivé à Rome le 16 juin 1866, il quitte la Villa Médicis le 16 février 1867 en raison de la santé défaillante de son épouse. Les archives produites lors de son passage à l’Académie de France à Rome sont assez pauvres ; elles sont, pour l’essentiel, liées au suivi comptable de l’institution et dans la continuité de la gestion de Victor Schnetz.

Académie de France à Rome

lettre autorisant le retour momentané du graveur Joseph Paul Marius Soumy en France pour cause de santé

1857, 6 juillet : lettre autorisant le retour momentané du graveur Joseph Paul Marius Soumy en France pour cause de santé, d’Achille Fould, ministre d’État, à Victor Schnetz, fol. 367-368

lettre informant des premiers Grands prix de Rome nommés à partir du 1er janvier 1858,

1857, 12 novembre : lettre informant des premiers Grands prix de Rome nommés à partir du 1er janvier 1858, d’Achille Fould, ministre d’État, à Victor Schnetz, fol. 382-383

autorisation pour prolonger un des bâtiments de la Villa Médicis sur les murs d la Villa

1859, 19 avril : autorisation pour prolonger un des bâtiments de la Villa Médicis sur les murs d la Villa, du Trésorier général à Victor Schnetz, fol. 386-387

lettre au sujet de la somme de 9906,95 fr destinée à solder les dépenses relatives aux travaux d’entretien exécutés en 1856

1857, 4 avril : lettre au sujet de la somme de 9906,95 fr destinée à solder les dépenses relatives aux travaux d’entretien exécutés en 1856, d’Alfred Blanche, secrétaire général du Ministère d’État, à Victor Schnetz, fol. 350

lettre accompagnant l’envoi, par ordre de Napoléon III, d’un exemplaire des Rapports du Jury international de l’Exposition universelle de 1855 pour la bibliothèque, de Savoye

1857, 30 juillet : lettre accompagnant l’envoi, par ordre de Napoléon III, d’un exemplaire des Rapports du Jury international de l’Exposition universelle de 1855 pour la bibliothèque, de Savoye de la Commission de l’Exposition universelle, à Victor Schnetz, fol. 369-370

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