Ajouter au presse-papier « Envoi du Compte de 1811 N° 211 », envoi du compte de 1811 revêtu du visa du ministre du ministre de l’Intérieur à Lethière, fol. 383-384

Ajouter au presse-papier « Etat de ce que j'ai laissé le 27 juin 1811 [signé] Lethière », de Lethière, fol. 23-23bis

Ajouter au presse-papier « Etat de ce qui est du a M.res les Pensionnaires de holande sur leur traitement de 1812 a raison de 2400 faisant 37. piast 38 baioq. Par mois et des à comptes qu'ils ont touchés dans le cours des cinq premiers mois. », de Lethière, fol. 116

Ajouter au presse-papier « Etat de la faïance et verrerie chez le directeur depuis le 22 septembre 1807. », à Lethière, fol. 29-29bis

Ajouter au presse-papier « Etat des Personnes composant l’Ecole Imp.le des Beaux arts ou attachées à son service, dans le cours de l’année 1811. », fol. 5-6

Ajouter au presse-papier « Etat des Petites Depenses courantes, sans quittances pendant le 3ème trimestre de 1808. », fol. 315-316bis

Ajouter au presse-papier « Etat des ouvrages de Peinture, Sculture Architecture et Gravure composant l’Exposition publique de l’Académie Imp.le de France a Rome, de la présente année 1808. En comprenant en outre les travaux de 1805. 1806. & 1807. arrierés, le tout devant être envoyé à Paris et soumis à l’Examen de la classe des Beaux arts de l’Institut », fol. 1-2

Ajouter au presse-papier « Etat des ouvrages des Pensionnaires de l’Académie R. de france à Rome, formant l’Exposition de l’année 1815 et qui doivent être envoyés à Paris pour être soumis à la Classe des Beaux arts, de l’Institut », de Lethière, fol. 423-423bis

Ajouter au presse-papier « Etat des payements faits aux Pensionnaires de holande sur le fonds 13050. francs », de Lethière, fol. 106-107

Ajouter au presse-papier « Etat des statues et Bas reliefs provenant des quatre facades du palais de la Villa Borghese que les commissaires soussignés, aidés de l’avis de Mr. Lethière directeur de l’Ecole Française des arts, de Mr. Zoéga homme de lettre et antiquaire célébre et de Mr. Marin sculpteur le plus ancien des Pensionnaires de l’academie de france, ont jugé ne pas meriter d’être transportés a Paris. », de Lethière, fol. 103-104bis