Fonds 20180611 - Directorat d'Horace Vernet (1829-1834)

« Correspondance arrivée. Année 1829 », sous-pochette contenant les folios 3 à 41, fol. 2 lettre informant de l’arrivé d’Horace Vernet à Rome le 17 janvier et de la bonne situation de l’é... lettre servant de sous-pochette contenant les folios 6 à 11 informant de l’ordre qui règne dans l... facture pour des gâteaux, de Nazarri à Horace Vernet, fol. 6 relevé de compte de l’Académie, de Marino Torlonia, banquier à Rome, fol. 7-8 lettre au sujet de la différence des comptes causée par le prix de l’argenterie cédée par Guérin ... lettre informant de l’approbation du dernier compte du directorat de Guérin, du ministre de l’Int... lettre concernant le congé accordé à Lemonnier, secrétaire bibliothécaire, du ministre de l’Intér... lettre servant de sous-pochette contenant les folios 17 à 18 accompagnant l’envoi du rapport prés... rapport de la section d’architecture de l’Académie royale des beauxarts, sur l’utilité de conserv...
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Cote

FR ISNI 0000 0001 2158 9529 20180611

Titre

Directorat d'Horace Vernet (1829-1834)

Date(s)

  • 1828 - 1841 (Production)

Niveau de description

Fonds

Étendue matérielle et support

0,6 ml, soit 2 cartons DIMAB
Support papier

Zone du contexte

Nom du producteur

((1666-...))

Histoire administrative

La création de l’Académie de France à Rome coïncida avec la politique des grands travaux entreprise par Louis XIV à la fin du XVIIe siècle, par lesquels furent transformés le Louvre, les Tuileries et Versailles. Créée en 1666, sous l’impulsion de Colbert, de Le Brun et du Bernin, elle accueillait à la fois les artistes ayant remporté le Premier Prix de Rome et des pensionnaires protégés de quelques grands seigneurs. Les jeunes artistes pensionnés par le roi avaient alors la possibilité d’acquérir un complément de formation au contact de Rome et de l’Italie.

A cette époque les pensionnaires, soumis à une discipline rigoureuse, devaient consacrer leur séjour à la réalisation de copies de l’Antique ou de la Renaissance. Aux peintres et sculpteurs s’ajoutèrent en 1720 les architectes. Avant de s’installer à la Villa Médicis, l’Académie de France à Rome connut plusieurs résidences successives : de la modeste maison près de Sant’Onofrio sur les pentes du Janicule elle déménagea au palais Caffarelli (1673), puis au palais Capranica (1684), et enfin au palais Mancini (1725). C’est à cette époque que l’Académie de France accueillit les peintres Boucher, Subleyras, Fragonard, David et des sculpteurs tels que Houdon.
Pendant la Révolution, la charge de directeur fut abolie. Le palais Mancini fut saccagé et pillé par des contre-révolutionnaires romains en février 1793; certains pensionnaires fuirent à Naples ou Florence. A la suite de ces événements, l’Académie de France à Rome fut supprimée. Elle fut rétablie en 1795 par le Directoire, mais il restait à lui trouver un nouveau lieu d’accueil. Le 18 mai 1803, la France et la Cour d’Etrurie décidèrent d’échanger le Palais Mancini contre la Villa Médicis.

En déménageant, l’Académie de France à Rome changea également de statut. Désormais rattachée à l’Institut de France, le concours d’entrée, le «Prix de Rome», était organisé par l’Académie des Beaux Arts. Les musiciens entrèrent à l’Académie de France à Rome avec le prix de composition créé en 1803. Les graveurs la rejoignirent quand fut créé le prix biennal de gravure en taille douce en 1804 et le prix quadriennal de gravure en médailles et pierres fines en 1807. Ces deux disciplines devaient célébrer les victoires napoléoniennes. De 1835 à 1841, Ingres est directeur de la Villa. Les directeurs sont traditionnellement d’anciens pensionnaires, même si cette règle connaît quelques exceptions, par exemple pour Carolus-Duran. Tout au long du XIXe siècle, l’Académie accueille des pensionnaires célèbres comme Victor Baltard, l’architecte des Halles de Paris, Charles Garnier, qui fit construire l’Opéra du même nom à Paris, des compositeurs tels que Berlioz, Bizet, Gounod ou Debussy, des sculpteurs tels que Carpeaux et David d’Angers.

Au début du XXe siècle, avec Lili Boulanger (Grand Prix de Rome de composition musicale en 1913) et Odette Pauvert (Grand Prix de Rome de peinture en 1925), les femmes font leur entrée à l’Académie. Durant la seconde guerre mondiale, la Villa est réquisitionnée par Mussolini. L’Académie est alors transférée à Nice puis à Fontainebleau. En 1961, André Malraux nomme le peintre Balthus à la direction de la Villa. Les deux hommes ont la volonté de réformer profondément l’Académie. Balthus entreprend une grande restauration de l’édifice et organise des manifestations pour ouvrir la Villa aux romains. Il fait aménager, à cette fin, de nouvelles salles d’exposition. Cette nouvelle approche est entérinée par un décret en 1971. L’Académie se détache alors de la tutelle de l’Académie des Beaux-Arts et les principes du concours sont profondément modifiés.

La durée du séjour passe de quatre à deux ans maximum tandis qu’écrivains, cinéastes, photographes, scénographes, restaurateurs d’oeuvres d’art et historiens de l’art agrandissent le cercle des pensionnaires, dont le nombre passe de 12 à 25. Participant aux échanges culturels et artistiques, la Villa Médicis organise des expositions, des concerts, des colloques ou des séminaires sur des sujets relevant des arts, des lettres et de leur histoire. Conçu par le décret de 1971 comme un lieu idéal de rencontres franco-italiennes, la Villa Médicis joue ainsi un rôle décisif au sein de la vie culturelle romaine et européenne. Ces objectifs ont été au cœur des actions de Jean Leymarie (1977-1984), Jean-Marie Drot (1985-1994), Jean-Pierre Angremy (1994-1997), Bruno Racine (1997-2002), Richard Peduzzi (2002-2008), Frédéric Mitterrand (2008-2009), Éric de Chassey (2009-2015) et de Muriel Mayette-Holtz.

Nom du producteur

((1789-1863))

Notice biographique

Fils de Carle Vernet, petit-fils de Claude Joseph Vernet et de Jean-Michel Moreau, il suivit les traces de son père dans la peinture militaire dont il fit sa spécialité et où il se révéla un peintre brillant, mais superficiel. On lui doit des scènes de batailles1, de sport, et des sujets orientaux. Une de ses filles épousa le peintre Paul Delaroche, une autre, Henriette Edmée, fut l'épouse d'Adolphe Yvon.

Il intégra l'atelier du peintre François-André Vincent (1746-1816) à l'École des beaux-arts de Paris.

Peintre déjà célèbre en son temps, il fut directeur de l’Académie de France à Rome de 1829 à 1834. Il prit le premier daguerréotype du port de Marseille en 1839. Enrichi, il acquit en 1855 un domaine au lieu-dit « Les Bormettes », sur le territoire de la commune de La Londe-les-Maures, alors simple faubourg de Hyères, charmé par la beauté du site dont l’eau bleutée et les collines galbées lui rappelaient l’Algérie où il avait auparavant séjourné. Il s’y fit construire un vaste château médiéval composé de différents corps de bâtiments hétéroclites et de style divers.
En octobre 1839, Vernet fit un voyage en Orient en compagnie2 de son neveu Charles Burton et d'un photographe ami et élève, Frédéric Goupil-Fesquet équipés de matériel produit par Lerebours3. Ils avaient été précédés en Egypte de quelques semaines par le franco-canadien Gaspard-Pierre-Gustave Joly de Lotbinière, qu'ils rencontrent en novembre. Les trois hommes rapportèrent leurs daguerréotypes qui donnèrent lieu à un livre, les Excursions daguerriennes publiées sous forme de lithographies par Lerebours en 1842.

« Il était un homme d’esprit, caractère aimable, une nature droite, honnête, loyale, vive et sensée », écrit Sainte-Beuve4.

En 1845, il perd sa fille Louise, alors âgée de 31 ans. Sa douleur lui inspirera son œuvre L'ange de la Mort.
À l’Exposition universelle de Paris de 1855, il occupa comme Ingres une salle entière et reçut la médaille d’honneur, ce qui le plaça en tête des peintres de son époque. Le peintre anglais Edwin Henry Landseer dit de lui : « Les tableaux de Vernet l’emportent sur ceux de tous ses rivaux car ils ne procèdent que de lui-même… » Au mois de décembre 1862, Napoléon III, apprenant la grave maladie de l’artiste, lui écrit : « Mon cher Monsieur Horace Vernet, je vous envoie la croix de Grand officier de la Légion d'honneur comme au grand peintre d'une grande époque… »5.

Histoire archivistique

Dispersée dans l’ensemble de la Villa Médicis, les archives anciennes de l’Académie ont connu trois vagues de collectes et de classements liés aux campagnes successives de rassemblement des documents dans les bureaux du département d’Histoire de l’art à l’époque, installés dans le pavillon Carolus-Duran :
– la première par Monsieur Georges Brunel, alors chargé de mission pour l’histoire de l’art, en 1979, concerne pour l’essentiel les années 1803-1960, avec quelques pièces anciennes antérieures à l’installation de l’Académie à la Villa Médicis [voir Correspondance des directeurs de l’Académie de France, Vol. I : Répertoires, Rome, 1979, p. 17-22]
– la deuxième à l’initiative de Monsieur Olivier Bonfait, chargé de mission pour l’histoire de l’art entre 1998 et 2004, est en lien avec la réalisation d’un inventaire informatisé sous FileMakerPro 3. La base de données intitulée « Archives de l’Académie de France à Rome XIXe siècle » a été paramétrée avec l’aide de Monsieur Sylvain Mottet. Ce dernier a également conçu le site de consultation en ligne (http://archivesAcadémie de France à Rome.sylvainmottet.fr). Mesdames Isabelle Chave et Isabelle Rouge-Ducos, conservateurs du patrimoine, et Monsieur Martin Kiefer, historien de l’art, ont rédigé les fiches descriptives des documents contenus dans les 128 premières boîtes d’archives. Madame Isabelle Chave rappelle dans son rapport du 31 août 2000 que « le traitement des archives, comprenant le foliotage, la suppression de tout élément métallique, la mise à plat des feuillets de petit format et une organisation cohérente des feuillets en vue de faciliter le travail de mise en fiches, autant que la numérisation future des pièces, a été mené de façon systématique pour chacun des cartons 46 (Schnetz I) à 90 (Hébert I) ». Ce travail avait pour objet d’identifier au plus vite les pièces d’archives afin de lutter contre les vols.

Source immédiate d'acquisition ou de transfert

Versement

Zone du contenu et de la structure

Portée et contenu

Horace Vernet, né le 30 juin 1789 à Pariset mort le 17 janvier 1863 à Paris, est un peintre français. Il eut pour père, le peintre Charles-Horace Vernet (1758-1836) qui fut pensionnaire à l’Académie de France à Rome entre 1782 et 1783, et pour grands-pères Claude Joseph Vernet et de Jean-Michel Moreau. Horace Vernet intégra l’atelier du peintre François-André Vincent à l’École des beaux-arts de Paris et se fit connaître grâce à ses peintures de bataille.
Alors qu’Horace Vernet est membre de l’Académie royale des beaux-arts depuis 1826, sa nomination à l’Académie de France à Rome en août 1828 intervient sans heurt ; il succède ainsi à Pierre-Narcisse Guéri. Il arrive à Rome le 18 janvier 1829, accompagné de sa femme, Louise, sa fille, Élisabeth-Louise, et son père Carle. Il instaure, dès son arrivée à la Villa Médicis une vie brillante, avec fêtes et réceptions. Les nombreuses dépenses attirent les remarques des ministres de l’Intérieur successifs, à la suite des traites tirées à la banque Torlonia et aux agios. Le personnel domestique est renouvelé et augmenté (cf. 20180611/1). Les appartements du directeur sont redécorés (cf. 20180611/2), et l’un des deux belvédères de la Villa se voit réaménagé en « chambre turque » (camera alla turca). De nombreux travaux sont mis à l’étude : réfection du piazzale et des studios des pensionnaires (cf. 20180661/1). Il est à noter que le directorat d’Horace Vernet est marqué par l’affaire des terrains du Orto di Napoli que l’Académie souhaitait récupérer contre l’avis de Serny, contentieux locatif auquel la Chambre apostolique it fin au profit de l’Académie (cf. 20180611/3).
Les relations avec les autorités romaines sont sans difficulté. Le cardinal Tommaso Bernetti ne s’oppose pas à l’entrée des pensionnaires au Vatican, il en est de même du secrétaire de l’Académie pontificale d’archéologie, Luigi Griffi, pour les pensionnaires architectes. Celles avec Paris, sont parfois plus chaotiques. Si le ministère se montre souvent complaisant envers Horace Vernet et lui accorde de revenir plusieurs fois à Paris, de séjourner à la cour de Turin, et de s’embarquer en mars 1833 pour l’Algérie, l’Académie royale des beaux-arts fait preuve de relations plus tendues avec le directeur. Le premier sujet de discorde concerne la nomination du secrétaire bibliothécaire qui succède à André Lemonnier, démissionnaire en 1831. Le deuxième point de tension naît de la volonté d’Horace Vernet d’autoriser les pensionnaires architectes à voyager dès les trois premières années (cf. 20180611/1). Enfin, le projet de réforme des trois institutions placées sous le contrôle de l’Académie des beaux-arts (l’École des beaux-arts, le Prix de Rome, l’Académie de France à Rome) contre lequel l’Institut s’insurge, rend le climat délétère.
Les pensionnaires, pour leur part, apprécièrent ce directeur qui les laissait plus libres que son prédécesseur et prenait leur défense.
Enfin, durant son séjour romain, Horace Vernet a une activité artistique intense : il peint, participe à l’Académie de Saint-Luc, expose tant à Rome qu’à Paris. Horace Vernet quitte Rome en janvier 1835 après que sa fille, Elisabeth-Louise, et le peintre Hippolyte Delaroche se sont mariés à Saint-Louis-des-Français.
Les pièces d’archives qui composent le fonds du directorat d’Horace Vernet représentent, pour l’essentiel, deux typologies : correspondance et pièces comptables. D’une part, ce sont les nombreux courriers reçus de la tutelle en charge des beaux-arts par le directeur de l’Académie : lettres des ministres de l’Intérieur successifs (le vicomte de Martignac, le comte de Labourdonnais, le baron de Montbel, Guizot, le comte de Montalivet), puis du ministre du Commerce et travaux publics (le comte d’Argout), et enfin, de nouveau, du ministre de l’Intérieur (Thiers). Ce sont aussi les courriers adressés par les ambassadeurs et chargés d’affaires de France auprès du Saint-Siège (le marquis de La Tour Maubourg, le comte de Sainte-Aulaire) et ceux du secrétaire perpétuel de l’Académie des beaux-arts, Quatremère de Quincy. D’autre part, de très nombreuses factures et quittances témoignent des travaux engagés à la Villa Médicis et de son fonctionnement, ainsi que du séjour des pensionnaires (achat de marbre et de toiles, fabrication de caisses pour les envois de Rome, moulages, voyages…) (cf. 20180611/2 à 20180611/5).
Quelques rares documents signés de Louise Vernet témoignent de la présence de la femme du directeur à la Villa (cf. 20180611/3).

Évaluation, élimination et calendrier de conservation

Aucune élimination

Accroissements

Fonds clos

Mode de classement

Le classement reprend celui adopté en 2004, lors de la création de la base de données « Archives de l’Académie de France à Rome XIXe siècle ». De nombreuses publications ayant été rédigées depuis, à partir des cotes et foliotage des documents, il était difficile de reprendre l’ensemble du classement à la lumière des nouvelles découvertes des documents sans rendre complexe, voire impossible, l’accès aux pièces d’archives citées dans ces publications.
Ainsi trouvera-t-on l’expression « Carton… » pour désigner le conditionnement initial.

Zone des conditions d'accès et d'utilisation

Conditions d’accès

Librement communicable

Conditions de reproduction

Selon règlement de la salle de lecture

Langue des documents

  • français
  • italien

Écriture des documents

Notes sur la langue et l'écriture

Caractéristiques matérielle et contraintes techniques

Instruments de recherche

20170113 : Académie de France à Rome. Directorat de Joseph-Benoît Suvée (1792-1807)
20170258 : Académie de France à Rome. Registres de la Villa Médicis
20170259 : Académie de France à Rome. Gestion des collections de la bibliothèque
20180071 : Académie de France à Rome. Directorat de Guillaume Guillon dit Lethière (1807-1816)
20180401 : Académie de France à Rome. Directorat de Charles Thévenin (1816-1823)
20180402 : Académie de France à Rome. Directorat de Pierre-Narcisse Guérin (1823-1828)
20180612 : Académie de France à Rome. Directorat de Jean Auguste Dominique Ingres (1835-1840)

Zone des sources complémentaires

Existence et lieu de conservation des originaux

Existence et lieu de conservation des copies

Unités de description associées

Archives nationales :
AB/XIX/5114 : Fonds Vernet, Delaroche-Vernet et Talbot (1779-1946).
F/21/612 : Administration des Beaux-Arts, 2e volume (XIXe siècle). Administration générale : correspondance des directeurs. 1792-1879
F/21/5827 – F/21/5832 : Académie de France à Rome : Villa Médicis.
AJ/52/192 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Règlements des concours aux Grands Prix de l’Académie royale des Beaux-Arts, suivis des règlements pour les pensionnaires de l’Académie de France à Rome. Sans date [avant 1845].
AJ/52/441 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Correspondance générale reçue, provenant essentiellement du ministère de tutelle 1. An VIII-1830.
An VIII-an XI. [1799-1803].
AJ/52/442 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Correspondance générale reçue, provenant essentiellement du ministère de tutelle (1831-1945).
AJ/52/864 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Personnel. Généralités (1826-1953).
AJ/52/1136 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Travaux des pensionnaires envoyés à Paris, contrôle exercé par l’Académie des Beaux-Arts. 1806-1898 et sans date
AJ/52/1390 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Académie de France à Rome. Premiers Grands Prix de peinture, sculpture et architecture, de gravure en taille-douce, en médailles, en pierres fines et de paysage historique, depuis la fondation, 1664-1968. Publication lithographiée donnant les noms des lauréats, avec des observations, jusqu’en 1850. Registre tenu à jour en manuscrit jusqu’en 1968.
O/4/1-O/4/2864 : Archives de la Maison du Roi : règne de Louis-Philippe (1830-1848). Lettre de Horace Vernet, peintre, directeur de l'Académie de France à Rome, au comte de Forbin, directeur général des Musées royaux (Rome, 24 mai 1831).
20140044/6 : Archives des Musées nationaux, Département des Antiquités grecques et romaines du musée du Louvre (Série A). 1806, 8 janvier-1832, 15 mai) -Gréterin, directeur des douanes et Horace Vernet, directeur de l’Académie de France à Rome, informés de l’arrivée de caisses venant de Rome.
20144790/184 : Archives des Musées nationaux, Département des peintures du musée du Louvre (série P). volume 17 (sous-série P30). Vernet.
20170113/1 : Académie de France à Rome. Directorat de Joseph-Benoît Suvée (1792-1807)
Lettre d’Horace Vernet à M. de Tallenay, chargé des Affaires de France, sur les arrangements et conditions de la cession du terrain de l’Académie de France à Rome au gouvernement Romain, 25 juin 1834.
Institut national d’Histoire de l’art :
Autographes 28, 13 : Vernet, Émile-Jean-Horace, dit Horace, peintre français (37 pièces :53 feuillets ; 5 lithographies ; 1 dessin)
Autographes 101, 82, 2 : Vernet, Horace. Lettre autographe signée écrite de Rome et adressée au Comte d'Argout [Ministre du Commerce et des Travaux publics] (1832).
Autographes 090, 48 : Vernet, Horace, peintre français (5 feuillets)

Descriptions associées

Zone des notes

Identifiant(s) alternatif(s)

Mots-clés

Mots-clés - Sujets

Mots-clés - Lieux

Mots-clés - Noms

Mots-clés - Genre

Zone du contrôle de la description

Identifiant de la description

Identifiant du service d'archives

Magdalena Dżoń et Corinne Jouys Barbelin

Règles et/ou conventions utilisées

Statut

Finale

Niveau de détail

Dates de production, de révision, de suppression

2018

Langue(s)

Écriture(s)

Sources

Blanc (Charles), Une famille d’artistes : Les trois Vernet. Joseph, Carle et Horace, Paris, 1907.
Guiffrey (Jules), Liste des pensionnaires de l’Académie de France à Rome (…) de 1663 à 1907, Paris, 1908.
Lapauze (Henuméroy), Histoire de l’Académie de France à Rome, Paris, 1924, 2 vol.
Alaux (Jean-Paul), L’Académie de France à Rome. Ses directeurs, ses pensionnaires, Paris, 1933.
Horace Vernet : 1789-1863 [Exposition : Académie de France à Rome, École nationale supérieure des beaux-arts, Paris, mars-juillet 1980]. Roma : De Luca ; Paris : École des beaux-arts, 1980.
La Villa Médicis, dir. André Chastel, coord. Philippe Morel, Roma, 1989-1991, 3 vol.
L’Académie de France à Rome aux XIXe et XXe siècles. Entre tradition, modernité et création [actes colloque, Rome, Villa Médicis, 1997], Paris/Roma, 2002 (« Collection d’histoire de l’art de l’Académie de France à Rome », 2).
Maestà di Roma. Les artistes français à Rome, d’Ingres à Degas [Rome, Villa Médicis, 2003], dir. Olivier Bonfait, Roma, 2004.
Fossier (François), Chave (Isabelle) et Kuhnmunch (Jacques). Horace Vernet, 1829-1834. Correspondance des directeurs de l'Académie de France à Rome : nouvelle série, XIXe siècle. Tome V, Le Puits aux livres, 2010. Cet ouvrage propose une bibliographie très complète tant sur Horace Vernet que sur le fonctionnement et la vie des pensionnaires de la Villa Médicis sous son directorat.
Verger (Annie et Gabriel), Dictionnaire biographique des pensionnaires de l’Académie de France à Rome, 1666-1968; préface d’Eric de Chassey, Dijon, 2011, 3 vol.
Procès-verbaux de l’Académie des Beaux-Arts, dir. Jean-Michel Leniaud, Paris, 2001-2004, 5 vol. [I. 1811-1815, éd. A. Goudail et C. Giraudon; II. 1816-1820, éd. C. Giraudon. III. 1821-1825, éd. B. Bouvier et Fr. Fossier; V. 1830-1834, éd. Fr. Naud; VI. 1835-1839, éd. B. Bouvier et D. Massounie].

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