Fonds FR ISNI 0000 0001 2158 9529 20190153 - Deuxième directorat de Jean-Victor Schnetz (1853-1866)

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Cote

FR ISNI 0000 0001 2158 9529 FR ISNI 0000 0001 2158 9529 20190153

Titre

Deuxième directorat de Jean-Victor Schnetz (1853-1866)

Date(s)

  • 1851-1872 (Production)

Niveau de description

Fonds

Étendue matérielle et support

Support papier
1,8 ml soit 6 cartons DIMAB

Zone du contexte

Nom du producteur

((1666-...))

Histoire administrative

La création de l’Académie de France à Rome coïncida avec la politique des grands travaux entreprise par Louis XIV à la fin du XVIIe siècle, par lesquels furent transformés le Louvre, les Tuileries et Versailles. Créée en 1666, sous l’impulsion de Colbert, de Le Brun et du Bernin, elle accueillait à la fois les artistes ayant remporté le Premier Prix de Rome et des pensionnaires protégés de quelques grands seigneurs. Les jeunes artistes pensionnés par le roi avaient alors la possibilité d’acquérir un complément de formation au contact de Rome et de l’Italie.

A cette époque les pensionnaires, soumis à une discipline rigoureuse, devaient consacrer leur séjour à la réalisation de copies de l’Antique ou de la Renaissance. Aux peintres et sculpteurs s’ajoutèrent en 1720 les architectes. Avant de s’installer à la Villa Médicis, l’Académie de France à Rome connut plusieurs résidences successives : de la modeste maison près de Sant’Onofrio sur les pentes du Janicule elle déménagea au palais Caffarelli (1673), puis au palais Capranica (1684), et enfin au palais Mancini (1725). C’est à cette époque que l’Académie de France accueillit les peintres Boucher, Subleyras, Fragonard, David et des sculpteurs tels que Houdon.
Pendant la Révolution, la charge de directeur fut abolie. Le palais Mancini fut saccagé et pillé par des contre-révolutionnaires romains en février 1793; certains pensionnaires fuirent à Naples ou Florence. A la suite de ces événements, l’Académie de France à Rome fut supprimée. Elle fut rétablie en 1795 par le Directoire, mais il restait à lui trouver un nouveau lieu d’accueil. Le 18 mai 1803, la France et la Cour d’Etrurie décidèrent d’échanger le Palais Mancini contre la Villa Médicis.

En déménageant, l’Académie de France à Rome changea également de statut. Désormais rattachée à l’Institut de France, le concours d’entrée, le «Prix de Rome», était organisé par l’Académie des Beaux Arts. Les musiciens entrèrent à l’Académie de France à Rome avec le prix de composition créé en 1803. Les graveurs la rejoignirent quand fut créé le prix biennal de gravure en taille douce en 1804 et le prix quadriennal de gravure en médailles et pierres fines en 1807. Ces deux disciplines devaient célébrer les victoires napoléoniennes. De 1835 à 1841, Ingres est directeur de la Villa. Les directeurs sont traditionnellement d’anciens pensionnaires, même si cette règle connaît quelques exceptions, par exemple pour Carolus-Duran. Tout au long du XIXe siècle, l’Académie accueille des pensionnaires célèbres comme Victor Baltard, l’architecte des Halles de Paris, Charles Garnier, qui fit construire l’Opéra du même nom à Paris, des compositeurs tels que Berlioz, Bizet, Gounod ou Debussy, des sculpteurs tels que Carpeaux et David d’Angers.

Au début du XXe siècle, avec Lili Boulanger (Grand Prix de Rome de composition musicale en 1913) et Odette Pauvert (Grand Prix de Rome de peinture en 1925), les femmes font leur entrée à l’Académie. Durant la seconde guerre mondiale, la Villa est réquisitionnée par Mussolini. L’Académie est alors transférée à Nice puis à Fontainebleau. En 1961, André Malraux nomme le peintre Balthus à la direction de la Villa. Les deux hommes ont la volonté de réformer profondément l’Académie. Balthus entreprend une grande restauration de l’édifice et organise des manifestations pour ouvrir la Villa aux romains. Il fait aménager, à cette fin, de nouvelles salles d’exposition. Cette nouvelle approche est entérinée par un décret en 1971. L’Académie se détache alors de la tutelle de l’Académie des Beaux-Arts et les principes du concours sont profondément modifiés.

La durée du séjour passe de quatre à deux ans maximum tandis qu’écrivains, cinéastes, photographes, scénographes, restaurateurs d’oeuvres d’art et historiens de l’art agrandissent le cercle des pensionnaires, dont le nombre passe de 12 à 25. Participant aux échanges culturels et artistiques, la Villa Médicis organise des expositions, des concerts, des colloques ou des séminaires sur des sujets relevant des arts, des lettres et de leur histoire. Conçu par le décret de 1971 comme un lieu idéal de rencontres franco-italiennes, la Villa Médicis joue ainsi un rôle décisif au sein de la vie culturelle romaine et européenne. Ces objectifs ont été au cœur des actions de Jean Leymarie (1977-1984), Jean-Marie Drot (1985-1994), Jean-Pierre Angremy (1994-1997), Bruno Racine (1997-2002), Richard Peduzzi (2002-2008), Frédéric Mitterrand (2008-2009), Éric de Chassey (2009-2015) et de Muriel Mayette-Holtz.

Nom du producteur

((1787-1870))

Notice biographique

Jean Victor Schnetz est né le 14 avril 1787 à Versailles.
Il est d'abord formé par Jacques-Louis David puis Jean-Baptiste Regnault, Antoine-Jean Gros et François Gérard.
Il a exposé au Salon à partir de 18082 ou de 18121 jusqu'en 1867, et a remporté des médailles de première classe en 1819 et lors de l'Exposition universelle de 1855.
Ami de Théodore Géricault, Jean-Victor Schnetz partagea sa vie entre la France et l'Italie qu'il avait découverte dans sa jeunesse et dont il était tombé amoureux.
Il mène une brillante carrière : élu en 1837 à l'Académie des beaux-arts, il est appelé, en 1841, à succéder à Ingres comme directeur de l'Académie de France à Rome et conserve ce poste jusqu'en 1846. Il le retrouve une seconde fois entre 1853 et 1866, date à laquelle lui succède Joseph-Nicolas Robert-Fleury.
Il est l’un des quatre peintres appelés pour célébrer les grandes révolutions parisiennes sur les murs de l'ancienne Salle du Trône de l'Hôtel de ville de Paris.
Il a une influence considérable sur les pensionnaires de la Villa Médicis. En effet, il incite les élèves à peindre d’après nature et non d’après les modèles en plâtre et obtient des autorisations pour aller dessiner dans les quartiers gitans de Rome. Le peintre étudie à Rome les thèmes de foi populaire qui l'inspirent et peint des tableaux d'inspirés de thèmes méditerranéens, très en vue au début de la monarchie de Juillet malgré leur caractère exotique qui font l'objet des sarcasmes de Baudelaire.
Il sait conquérir la gloire en pleine bataille entre néo-classiques et romantiques en inventant une voie moyenne consistant à traiter de manière classique des sujets pittoresques tirés de la vie quotidienne des paysans et brigands.
Il est mort le 16 mars 1870 à Paris.
Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (3e division).

Histoire archivistique

Dispersées dans l’ensemble de la Villa Médicis, les archives anciennes de l’Académie ont connu trois vagues de collectes et de classements liés aux campagnes successives de rassemblement des documents dans les bureaux du département d’Histoire de l’art, à l’époque installés dans le pavillon Carolus-Duran :
– la première par Monsieur Georges Brunel, alors chargé de mission pour l’Histoire de l’art, en 1979, concerne pour l’essentiel les années 1803-1960, avec quelques pièces anciennes antérieures à l’installation de l’Académie à la Villa Médicis [voir Correspondance des directeurs de l’Académie de France, Vol. I : Répertoires, Rome, 1979, p. 17-22]
– la deuxième à l’initiative de Monsieur Olivier Bonfait, chargé de mission pour l’Histoire de l’art entre 1998 et 2004, est en lien avec la réalisation d’un inventaire informatisé sous FileMakerPro 3. La base de données intitulée « Archives de l’Académie de France à Rome XIXe siècle » a été paramétrée avec l’aide de Monsieur Sylvain Mottet. Ce dernier a également conçu le site de consultation en ligne (http://archivesAcadémie de France à Rome.sylvainmottet.fr). Mesdames Isabelle Chave et Isabelle Rouge-Ducos, conservateurs du patrimoine, et Monsieur Martin Kiefer, historien de l’art, ont rédigé les fiches descriptives des documents contenus dans les 128 premières boîtes d’archives. Madame Isabelle Chave rappelle dans son rapport du 31 août 2000 que « le traitement des archives, comprenant le foliotage, la suppression de tout élément métallique, la mise à plat des feuillets de petit format et une organisation cohérente des feuillets en vue de faciliter le travail de mise en fiches, autant que la numérisation future des pièces, a été mené de façon systématique pour chacun des cartons 46 (Schnetz I) à 90 (Hébert I) ». Ce travail avait pour objet d’identifier au plus vite les pièces d’archives afin de lutter contre les vols.

Source immédiate d'acquisition ou de transfert

Zone du contenu et de la structure

Portée et contenu

D’une famille originaire de Suisse, Jean-Victor Schnetz est né le 14 avril 1787 à Versailles et meurt à Paris le 16 mars 1870.
Il est d’abord formé par Jean-Baptiste Regnault, puis par Jacques-Louis David, par Antoine-Jean Gros et par François Gérard. Dans les ateliers du Louvre, il noue des relations étroites avec le Belge Navez, Horace Vernet, Léopold Robert, Théodore Géricault ou le peintre Alaux. Il expose au Salon à partir de 1808 ou de 1812, jusqu’en 1867, et remporte des médailles de première classe en 1819 et lors de l’Exposition universelle de 1855.
Inscrit à l’École des Beaux-Arts, Jean-Victor Schnetz se présente à cinq reprises au Prix de Rome (1809, 1812, 1813, 1814 et 1816), mais sans jamais remporter l’épreuve finale. Pour autant, il part en Italie en 1817, et se présente au concours Canova organisé par l’Académie de Saint-Luc et remporte le premier prix. Il peut dès lors fréquenter la Villa Médicis où il est reçu par son directeur Charles Thévenin. À cette même époque, Jean-Victor Schnetz prend un atelier rue Babuino, proche de celui d’Ingres. Il quitte Rome en 1820, rappelé par son frère Antoine. Un deuxième séjour à Rome de 1821 à 1824 renforce son goût pour la peinture, puis un troisième entre 1825 et 1831.
De retour à Paris en 1831, Jean-Victor Schnetz participe aux principaux chantiers décoratifs parisiens sous Louis-Philippe. Il est l’un des quatre peintres appelés pour célébrer sur les murs de l’ancienne Salle du Trône de l’Hôtel de Ville les grandes révolutions parisiennes. Ainsi, Jean-Victor Schnetz illustre le second jour des « Trois Glorieuses » de 1830.
Jean-Victor Schnetz prend la direction de l’Académie de France à Rome en 1853, à la suite de Jean Alaux. C’est la deuxième fois qu’il est élu à ce poste prestigieux. Il a alors soixante-seize ans. Son deuxième directorat est marqué par la grande réforme de 1863 qui retire à l’Académie des Beaux-arts sa tutelle sur l’Académie de France à Rome, mais également par le décès de dix-sept pensionnaires (Maillot, Clément, Gumery, Galibert, Bonnardel...) durant les quatorze années de son mandat. Le secrétaire Le Go et l’architecte Luigi Poletti, toujours présent à la Villa Médicis, secondent Schnetz pour toutes les actions administratives, les aménagements et la restauration des bâtiments et jardins.
À Rome, Jean-Victor Schnetz entretient de bonnes relations avec les ambassadeurs de France successifs, le Saint-Siège et l’aristocratie romaine. Il reçoit régulièrement la visite d’artistes et d’érudits, parmi lesquels on peut noter celle, en 1853, de son ami et secrétaire perpétuel de l’Académie Raoul-Rochette, et l’éminent épigraphiste Léon Renier, venu à Rome en 1861 pour l’acquisition de la collection Campana. Le passage en 1857 de la tsarine douairière en 1857 et celle des fils d’Abd El Kader en 1866 témoignent du rôle prestigieux que conserve l’Académie de France à Rome auprès d’hôtes illustres.
La correspondance administrative de Jean-Victor Schnetz se fait pour l’essentiel avec Fould, ministre d’État en charge des Beaux-Arts et des travaux publics, ou avec Alfred Blanche, son secrétaire général. À partir de 1863, les Beaux-Arts rejoignent la Maison de l’Empereur dirigée par le maréchal Vaillant, avec le comte de Nieuwerkerke comme surintendant des Beaux-Arts ; les Bâtiments civils sont alors confiés à Pelletier. Les ordonnancements se font par l’intermédiaire du payeur de la division française d’occupation à Rome. Les fonds arrivent plus régulièrement que sous le directorat de Jean Alaux, mais pour autant, il est rappelé régulièrement à Schnetz de se plier aux règles de la comptabilité publique en veillant à des quittances conformes. À force de réitérer ses demandes, Schnetz obtient que soient augmenté son secrétaire Le Go et certains des pensionnaires.
Sous son directorat, sont commandées dix copies d’antiques pour la décoration de la cour du Louvre, dont l’acheminement rencontra les mêmes difficultés que ceux des envois des pensionnaires.
Jean-Victor Schnetz quitte la Villa Médicis en 1866 après un directorat de quatorze ans ; il est alors âgé de quatre-vingt-neuf ans. À Jean-Victor Schnetz succède Joseph-Nicolas Robert-Fleury qui arrive à Rome le 16 juin 1866.
Des pièces d’archives associées au fonds du directorat Schnetz ont été produites par Ernest Hébert, directeur de l’Académie de France à Rome qui a succédé à Joseph-Nicolas Robert-Fleury en 1867 (cf 20190153/4), comme la série d’inventaires dressés par Joseph-Nicolas Robert-Fleury et par Ernest Hébert (cf 20190153/19). Il a été décidé de les maintenir dans le fonds du second directorat de Victor Schnetz afin d’une part d’observer les références des publications antérieures au versement du fonds, et d’autre part en méconnaissance du classement initial de ces documents.

Évaluation, élimination et calendrier de conservation

Aucun élimination

Accroissements

Fonds clos

Mode de classement

Le classement reprend celui adopté en 2004, lors de la création de la base de données « Archives de l’Académie de France à Rome XIXe siècle ». De nombreuses publications ayant été rédigées depuis, à partir des cotes et foliotage des documents, il était difficile de reprendre l’ensemble du classement à la lumière des nouvelles découvertes des documents sans rendre complexe, voire impossible, l’accès aux pièces d’archives citées dans ces publications. C’est la raison pour laquelle le lecteur pourra trouver des rapports sur les Envois de Rome produit par Ernest Hébert, directeur de l’Académie de France à Rome qui a succédé à Joseph-Nicolas Robert-Fleury en 1867.
Les documents sont décrits pièce à pièce, en suivant le foliotage.
Les numéros des cartons de conditionnement adoptés dans les années 1970, sont indiqués à la fin de la description de l’article afin que les références indiquées dans les publications antérieures permettent encore l’accès aux documents.

Zone des conditions d'accès et d'utilisation

Conditions d’accès

Librement communicable

Conditions de reproduction

Selon le règlement de la salle de lecture

Langue des documents

  • français
  • italien

Écriture des documents

Notes sur la langue et l'écriture

Caractéristiques matérielle et contraintes techniques

Instruments de recherche

Zone des sources complémentaires

Existence et lieu de conservation des originaux

Existence et lieu de conservation des copies

Unités de description associées

Archives nationales :
F/21/606 : Administration et comptabilité (1802-1891)
F/21/607 : Envois des travaux des pensionnaires (1831-1879)
F/21/612 : Administration des Beaux-Arts, 2e volume (XIXe siècle). Administration générale : correspondance des directeurs (1792-1879)
F/21/613 : Administration générale (1792-1879)
F/21/1340 : Bâtiments civils. Académie de France à Rome (1841-1858)
F/21/2 : Travaux d’art. Commandes et acquisitions (dossiers classés, en séries décennales, par ordre alphabétique de noms de personne). De G à Z.
F/21/476-F/21/567 : beaucoup de pièces concernent l’Académie de France à Rome et ses difficultés financières (lettres de Schnetz)
F/21/568 – F/21/743 : Schnetz (V.), 1843, 1852-1866
F/21/612 : Administration des Beaux-Arts, 2e volume (XIXe siècle). Administration générale : correspondance des directeurs. 1792-1879
F/21/5827 – F/21/5832 : Académie de France à Rome : Villa Médicis.
AJ/52/192 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Règlements des concours aux Grands Prix de l’Académie royale des Beaux-Arts, suivis des règlements pour les pensionnaires de l’Académie de France à Rome. Sans date [avant 1845].
AJ/52/441 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Correspondance générale reçue, provenant essentiellement du ministère de tutelle.
AJ/52/442 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Correspondance générale reçue, provenant essentiellement du ministère de tutelle (1831-1945).
Italie. 1825-1861.
AJ/52/864 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Personnel. Généralités (1826-1953).
AJ/52/1136 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Travaux des pensionnaires envoyés à Paris, contrôle exercé par l’Académie des Beaux-arts. 1806-1898 et sans date
AJ/52/1390 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Académie de France à Rome. Premiers Grands Prix de peinture, sculpture et architecture, de gravure en taille-douce, en médailles, en pierres fines et de paysage historique, depuis la fondation, 1664-1968. Publication lithographiée donnant les noms des lauréats, avec des observations, jusqu’en 1850. Registre tenu à jour en manuscrit jusqu’en 1968.
MC/DC/XXIII/4 – MC/DC/XXIII/5 : Notaires. Famille Schnetz. Dossiers de clients de l’étude XXIII. Succession de Jean Jean-Victor Schnetz
20144778/53 : Archives des musées nationaux, Département Chalcographie gravure, dessins et estampes du musée du Louvre (séries C, CG et CR). 1847, 5 août Une collection des eaux-fortes de M. Bléry est accordée à M. Schnetz
20144789/6 : Archives des musées nationaux, Acquisitions de la liste civile - Monuments – Décorations, médailles et sceaux (série N). Décorations à des artistes et fonctionnaires des musées Décorations à des artistes et fonctionnaires des musées
20144790/180 : archives des musées nationaux, Département des peintures du musée du Louvre (série P). volume 17 (sous-série P30). Schnetz Jean Victor (1787-1870) [s.d., 1827-1888]
231AP/3 : Fonds Fain (1802-1850). Schnetz (Victor) lettre a. s.
51/AP/4 : Fonds Gabriel Deville (XVIIe-XXe siècles). Jean-Victor Schnetz, 1845 (pièce 291).

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Identifiant(s) alternatif(s)

Mots-clés

Mots-clés - Sujets

Mots-clés - Lieux

Mots-clés - Noms

Mots-clés - Genre

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Identifiant de la description

Identifiant du service d'archives

Règles et/ou conventions utilisées

Statut

Finale

Niveau de détail

Complet

Dates de production, de révision, de suppression

Langue(s)

  • français

Écriture(s)

Sources

Baudry (Paul), Notice sur la vie et les œuvres de Schnetz, Institut de France. Académie des Beaux-arts, 1874.
Guiffrey (Jules), Liste des pensionnaires de l’Académie de France à Rome (…) de 1663 à 1907, Paris, 1908.
Lapauze (Henry), Histoire de l’Académie de France à Rome (1802-1910), Tome 2, Paris, 1924.
Alaux (Jean-Paul), L’Académie de France à Rome. Ses directeurs, ses pensionnaires, Paris, 1933.
La Villa Médicis, dir. André Chastel, coord. Philippe Morel, Roma, 1989-1991, 3 vol.
Jean-Victor Schnetz (1787-1870). Couleurs d’Italie, dir. Laurence Chesneau-Dupin ,Les Cahiers du temps. 2000, 215 p.
L’Académie de France à Rome aux XIXe et XXe siècles. Entre tradition, modernité et création [actes colloque, Rome, Villa Médicis, 1997], Paris/Roma, 2002 (« Collection d’histoire de l’art de l’Académie de France à Rome », 2).
Maestà di Roma. Les artistes français à Rome, d’Ingres à Degas [Rome, Villa Médicis, 2003], dir. Olivier Bonfait, Roma, 2004.
Procès-verbaux de l’Académie des Beaux-arts, dir. Jean-Michel Leniaud, Paris, 2001-2004, 5 vol. [I. 1811-1815, éd. A. Goudail et C. Giraudon; II. 1816-1820, éd. C. Giraudon. III. 1821-1825, éd. B. Bouvier et fr Fossier; V. 1830-1834, éd. fr Naud; VI. 1835-1839, éd. B. Bouvier et D. Massounie].
Verger (Annie et Gabriel), Dictionnaire biographique des pensionnaires de l’Académie de France à Rome, 1666-1968, préface d’Éric de Chassey, Dijon, 2011, 3 vol.
Fossier (François), Correspondancedu premier directorat de Jean-Victor Schnetz (1840-1846). Les directeurs de la villa Médicis au XIXe siècle, l’Harmattan, 2018. 443 p.
Fossier (François), Correspondance des deuxième et troisième directorats de Jean-Victor Schnetz (1853-1866) et directorat de Joseph-Nicolas Robert-Fleury (1866-1867). Les directeurs de la villa Médicis au XIXe siècle, l’Harmattan, 2018. 695 p.

Note de l'archiviste

Magdalena Dżoń, Ghislain Classeau et Corinne Jouys Barbelin

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