Zone d'identification
Cote
FR ISNI 0000 0001 2158 9529 20190152
Titre
Date(s)
- 1840 - 1853 (Production)
Niveau de description
Fonds
Étendue matérielle et support
0,90 ml (soit 3 cartons DIMAB)
sur support papier
Zone du contexte
Nom du producteur
Notice biographique
Jean Alaux (Bordeaux 1786-Paris 1864) débute à l’École des beaux-arts de Bordeaux où il est l’élève de Pierre Lacour, avant d’être admis à l’École des beaux-arts de Paris où il devient l’élève de Pierre-Narcisse Guérin et condisciple d’Horace Vernet. Il obtient le premier prix de Rome en 1815 avec Briséis pleurant le corps de Patrocle dans la tente d’Achille. et séjourne comme pensionnaire à la Villa Médicis de 1817 à 1821 où il se lie d’amitié avec Ingres.
Peintre d’Histoire, il bénéficie d’une large reconnaissance artistique et institutionnelle. Il expose au Salon de Paris à partir de 1824, et y obtient une médaille de 1re classe dès sa première participation. Nommé chevalier de la Légion d’honneur en 1828, il est promu officier du même ordre en 1841. Directeur de l’Académie de France à Rome de 1847 à 1852, il est élu membre de l’Académie des beaux-arts en 1851.
Sous la monarchie de Juillet, Jean Alaux devient le peintre favori de Louis-Philippe. Ce dernier lui confie l’entière décoration de la Salle des Généraux du château de Versailles. Il participe également à la décoration de la galerie des Batailles pour laquelle il peint La Bataille de Villaciosa (1836), La Prise de Valenciennes (1837) et La Bataille de Denain (1839). En 1854, Napoléon III le choisit pour la décoration de la grande coupole du Palais du Sénat. Il se voit également confier la restauration des fresques du Rosso dans la Galerie François Ier au château de Fontainebleau en 1858, ainsi que celles du Primatice de la Galerie Henri II.
Le directorat de Jean Alaux à l’Académie de France à Rome fut marqué par les grands bouleversements politiques qui touchèrent à la fois l’Italie et la France. Il dut rendre des comptes à pas moins de 14 ministres de l’Intérieur et 12 ministres des Travaux publics.
Son élection reste mystérieuse faute d’archives.
En 1848, Jean Alaux choisit de suite le parti de la République et rebaptise l’Académie « École de France à Rome », puis, après le coup d’État du 2 novembre 1852, il s’empressa d’inscrire « Académie impériale de France », de replacer le buste de Napoléon Ier et de faire dégager l’inscription « à Napoléon les arts reconnaissants » qui avait été recouverte de plâtre sous la Restauration. En novembre 1848, alors qu’il n’y a plus de représentation diplomatique française à Rome, les républicains s’emparent de la ville. Le 2 mai 1849, alors que Jean Alaux a accueilli cent cinquante de ses compatriotes à la Villa, les triumvirs décident d’occuper celle-ci. D’abord réfugiés au palais Colonna, Jean Alaux et les pensionnaires quittent Rome le 6 mai pour se réfugier à Florence, ne revenir que le 12 juillet et retrouver ateliers et jardins dévastés ce qui nécessitat des travaux de restauration très importants et coûteux. Son courage durant les événements lui valurent son élection à l’Académie des beaux-arts en février 1851. Jean Alaux dut se débattre à la suite avec des difficultés de paiement sans cesse renouvelés, et des problèmes financiers liés à la restauration de la Villa Médicis. Les rapports que Jean Alaux entretint avec son ministère de tutelle furent strictement financiers. Seule l’archéologie suscita vraiment l’attention des pouvoirs publics français. La cour des Comptes se montra particulièrement tatillonne, comme le furent également le ministre de l’Intérieur, et celui des Travaux publics.
Durant son mandat, plusieurs décès furent à déplorer : tout d’abord le pensionnaire Maréchal, puis le sculpteur Roguet. L’architecte de l’Académie, Giuseppe Marini, mourut en juin 1850 et fut remplacé en urgence par un membre de l’Académie de Saint-Luc, Luigi Poletti. En 1850 encore, l’Académie lui envoya un pensionnaire supplémentaire, Bouguereau (cf. 20190152/1), et un rapport sur les envois des pensionnaires que Jean Alaux jugea très dur et contre lequel il s’éleva.
Durant son directorat, la bibliothèque de la Villa s’enrichit de nouveau et gagna le grand salon en 1851. Les pensionnaires architectes Tétaz, Garnier et Desbuisson partirent en Grèce, Boulanger fut chargé de la copie du Festin des dieux de la Farnésine pour les Gobelins, le transport des envois annuels devint réellement problématique, le muro torto fut réparé et une pompe à incendie fut obtenue du ministère.
Son successeur -et prédécesseur- Jean-Victor Schnetz, lui succéda début 1853.
Comme pour les directorats précédents, le contenu du fonds Jean Alaux comprends une correspondance abondante entre le directeur et ses tutelles (ministère de l’Intérieur et Académie des beaux-arts), ainsi que de très nombreuses pièces comptables qui permettent un suivi fin de la vie quotidienne à l’Académie de France à Rome, des travaux effectués à la Villa Médicis, de l’entretien des espaces, de l’état de santé des pensionnaires et du coût de la vie à Rome.
Quelques courriers et pièces de correspondance adressés à Victor Schnetz ou produits par ce dernier ont été intégrés dans ce directorat, probablement du temps de Jean Alaux.
Nom du producteur
Histoire administrative
La création de l’Académie de France à Rome coïncida avec la politique des grands travaux entreprise par Louis XIV à la fin du XVIIe siècle, par lesquels furent transformés le Louvre, les Tuileries et Versailles. Créée en 1666, sous l’impulsion de Colbert, de Le Brun et du Bernin, elle accueillait à la fois les artistes ayant remporté le Premier Prix de Rome et des pensionnaires protégés de quelques grands seigneurs. Les jeunes artistes pensionnés par le roi avaient alors la possibilité d’acquérir un complément de formation au contact de Rome et de l’Italie.
A cette époque les pensionnaires, soumis à une discipline rigoureuse, devaient consacrer leur séjour à la réalisation de copies de l’Antique ou de la Renaissance. Aux peintres et sculpteurs s’ajoutèrent en 1720 les architectes. Avant de s’installer à la Villa Médicis, l’Académie de France à Rome connut plusieurs résidences successives : de la modeste maison près de Sant’Onofrio sur les pentes du Janicule elle déménagea au palais Caffarelli (1673), puis au palais Capranica (1684), et enfin au palais Mancini (1725). C’est à cette époque que l’Académie de France accueillit les peintres Boucher, Subleyras, Fragonard, David et des sculpteurs tels que Houdon.
Pendant la Révolution, la charge de directeur fut abolie. Le palais Mancini fut saccagé et pillé par des contre-révolutionnaires romains en février 1793; certains pensionnaires fuirent à Naples ou Florence. A la suite de ces événements, l’Académie de France à Rome fut supprimée. Elle fut rétablie en 1795 par le Directoire, mais il restait à lui trouver un nouveau lieu d’accueil. Le 18 mai 1803, la France et la Cour d’Etrurie décidèrent d’échanger le Palais Mancini contre la Villa Médicis.
En déménageant, l’Académie de France à Rome changea également de statut. Désormais rattachée à l’Institut de France, le concours d’entrée, le «Prix de Rome», était organisé par l’Académie des Beaux Arts. Les musiciens entrèrent à l’Académie de France à Rome avec le prix de composition créé en 1803. Les graveurs la rejoignirent quand fut créé le prix biennal de gravure en taille douce en 1804 et le prix quadriennal de gravure en médailles et pierres fines en 1807. Ces deux disciplines devaient célébrer les victoires napoléoniennes. De 1835 à 1841, Ingres est directeur de la Villa. Les directeurs sont traditionnellement d’anciens pensionnaires, même si cette règle connaît quelques exceptions, par exemple pour Carolus-Duran. Tout au long du XIXe siècle, l’Académie accueille des pensionnaires célèbres comme Victor Baltard, l’architecte des Halles de Paris, Charles Garnier, qui fit construire l’Opéra du même nom à Paris, des compositeurs tels que Berlioz, Bizet, Gounod ou Debussy, des sculpteurs tels que Carpeaux et David d’Angers.
Au début du XXe siècle, avec Lili Boulanger (Grand Prix de Rome de composition musicale en 1913) et Odette Pauvert (Grand Prix de Rome de peinture en 1925), les femmes font leur entrée à l’Académie. Durant la seconde guerre mondiale, la Villa est réquisitionnée par Mussolini. L’Académie est alors transférée à Nice puis à Fontainebleau. En 1961, André Malraux nomme le peintre Balthus à la direction de la Villa. Les deux hommes ont la volonté de réformer profondément l’Académie. Balthus entreprend une grande restauration de l’édifice et organise des manifestations pour ouvrir la Villa aux romains. Il fait aménager, à cette fin, de nouvelles salles d’exposition. Cette nouvelle approche est entérinée par un décret en 1971. L’Académie se détache alors de la tutelle de l’Académie des Beaux-Arts et les principes du concours sont profondément modifiés.
La durée du séjour passe de quatre à deux ans maximum tandis qu’écrivains, cinéastes, photographes, scénographes, restaurateurs d’oeuvres d’art et historiens de l’art agrandissent le cercle des pensionnaires, dont le nombre passe de 12 à 25. Participant aux échanges culturels et artistiques, la Villa Médicis organise des expositions, des concerts, des colloques ou des séminaires sur des sujets relevant des arts, des lettres et de leur histoire. Conçu par le décret de 1971 comme un lieu idéal de rencontres franco-italiennes, la Villa Médicis joue ainsi un rôle décisif au sein de la vie culturelle romaine et européenne. Ces objectifs ont été au cœur des actions de Jean Leymarie (1977-1984), Jean-Marie Drot (1985-1994), Jean-Pierre Angremy (1994-1997), Bruno Racine (1997-2002), Richard Peduzzi (2002-2008), Frédéric Mitterrand (2008-2009), Éric de Chassey (2009-2015) et de Muriel Mayette-Holtz.
Dépôt
Histoire archivistique
Dispersées dans l’ensemble de la Villa Médicis, les archives anciennes de l’Académie ont connu trois vagues de collectes et de classements liés aux campagnes successives de rassemblement des documents dans les bureaux du département d’Histoire de l’art, à l’époque installés dans le pavillon Carolus-Duran :
– la première par Monsieur Georges Brunel, alors chargé de mission pour l’Histoire de l’art, en 1979, concerne pour l’essentiel les années 1803-1960, avec quelques pièces anciennes antérieures à l’installation de l’Académie à la Villa Médicis [voir Correspondance des directeurs de l’Académie de France, Vol. I : Répertoires, Rome, 1979, p. 17-22]
– la deuxième à l’initiative de Monsieur Olivier Bonfait, chargé de mission pour l’Histoire de l’art entre 1998 et 2004, est en lien avec la réalisation d’un inventaire informatisé sous FileMakerPro 3. La base de données intitulée « Archives de l’Académie de France à Rome XIXe siècle » a été paramétrée avec l’aide de Monsieur Sylvain Mottet. Ce dernier a également conçu le site de consultation en ligne (http://archivesAcadémie de France à Rome.sylvainmottet.fr). Mesdames Isabelle Chave et Isabelle Rouge-Ducos, conservateurs du patrimoine, et Monsieur Martin Kiefer, historien de l’art, ont rédigé les fiches descriptives des documents contenus dans les 128 premières boîtes d’archives. Madame Isabelle Chave rappelle dans son rapport du 31 août 2000 que « le traitement des archives, comprenant le foliotage, la suppression de tout élément métallique, la mise à plat des feuillets de petit format et une organisation cohérente des feuillets en vue de faciliter le travail de mise en fiches, autant que la numérisation future des pièces, a été mené de façon systématique pour chacun des cartons 46 (Schnetz I) à 90 (Hébert I) ». Ce travail avait pour objet d’identifier au plus vite les pièces d’archives afin de lutter contre les vols.
Des documents retrouvés en 2004 en vrac dans la bibliothèque de la Villa Médicis ont été ajoutés à la fin de chaque article.
Source immédiate d'acquisition ou de transfert
Versement
Zone du contenu et de la structure
Portée et contenu
Jean Alaux (Bordeaux 1786-Paris 1864) débute à l’École des beaux-arts de Bordeaux où il est l’élève de Pierre Lacour, avant d’être admis à l’École des beaux-arts de Paris où il devient l’élève de Pierre-Narcisse Guérin et condisciple d’Horace Vernet. Il obtient le premier prix de Rome en 1815 avec Briséis pleurant le corps de Patrocle dans la tente d’Achille. et séjourne comme pensionnaire à la Villa Médicis de 1817 à 1821 où il se lie d’amitié avec Ingres.
Peintre d’Histoire, il bénéficie d’une large reconnaissance artistique et institutionnelle. Il expose au Salon de Paris à partir de 1824, et y obtient une médaille de 1re classe dès sa première participation. Nommé chevalier de la Légion d’honneur en 1828, il est promu officier du même ordre en 1841. Directeur de l’Académie de France à Rome de 1847 à 1852, il est élu membre de l’Académie des beaux-arts en 1851.
Sous la monarchie de Juillet, Jean Alaux devient le peintre favori de Louis-Philippe. Ce dernier lui confie l’entière décoration de la Salle des Généraux du château de Versailles. Il participe également à la décoration de la galerie des Batailles pour laquelle il peint La Bataille de Villaciosa (1836), La Prise de Valenciennes (1837) et La Bataille de Denain (1839). En 1854, Napoléon III le choisit pour la décoration de la grande coupole du Palais du Sénat. Il se voit également confier la restauration des fresques du Rosso dans la Galerie François Ier au château de Fontainebleau en 1858, ainsi que celles du Primatice de la Galerie Henri II.
Le directorat de Jean Alaux à l’Académie de France à Rome fut marqué par les grands bouleversements politiques qui touchèrent à la fois l’Italie et la France. Il dut rendre des comptes à pas moins de 14 ministres de l’Intérieur et 12 ministres des Travaux publics.
Son élection reste mystérieuse faute d’archives.
En 1848, Jean Alaux choisit de suite le parti de la République et rebaptise l’Académie « École de France à Rome », puis, après le coup d’État du 2 novembre 1852, il s’empressa d’inscrire « Académie impériale de France », de replacer le buste de Napoléon Ier et de faire dégager l’inscription « à Napoléon les arts reconnaissants » qui avait été recouverte de plâtre sous la Restauration. En novembre 1848, alors qu’il n’y a plus de représentation diplomatique française à Rome, les républicains s’emparent de la ville. Le 2 mai 1849, alors que Jean Alaux a accueilli cent cinquante de ses compatriotes à la Villa, les triumvirs décident d’occuper celle-ci. D’abord réfugiés au palais Colonna, Jean Alaux et les pensionnaires quittent Rome le 6 mai pour se réfugier à Florence, ne revenir que le 12 juillet et retrouver ateliers et jardins dévastés (cf. 20190152/1) ce qui nécessitat des travaux de restauration très importants et coûteux (cf. 20190152/4, 20190152/5, 20190152/6). Son courage durant les événements lui valurent son élection à l’Académie des beaux-arts en février 1851. Jean Alaux dut se débattre à la suite avec des difficultés de paiement sans cesse renouvelés, et des problèmes financiers liés à la restauration de la Villa Médicis. Les rapports que Jean Alaux entretint avec son ministère de tutelle furent strictement financiers. Seule l’archéologie suscita vraiment l’attention des pouvoirs publics français. La cour des Comptes se montra particulièrement tatillonne, comme le furent également le ministre de l’Intérieur, et celui des Travaux publics.
Durant son mandat, plusieurs décès furent à déplorer : tout d’abord le pensionnaire Maréchal, puis le sculpteur Roguet. L’architecte de l’Académie, Giuseppe Marini, mourut en juin 1850 et fut remplacé en urgence par un membre de l’Académie de Saint-Luc, Luigi Poletti. En 1850 encore, l’Académie lui envoya un pensionnaire supplémentaire, Bouguereau (cf. 20190152/1), et un rapport sur les envois des pensionnaires que Jean Alaux jugea très dur et contre lequel il s’éleva.
Durant son directorat, la bibliothèque de la Villa s’enrichit de nouveau et gagna le grand salon en 1851 (cf. 20190152/8). Les pensionnaires architectes Tétaz, Garnier et Desbuisson partirent en Grèce, Boulanger fut chargé de la copie du Festin des dieux de la Farnésine pour les Gobelins (cf. 20190152/1), le transport des envois annuels devint réellement problématique (cf. 20190152/1), le muro torto fut réparé et une pompe à incendie fut obtenue du ministère (cf. 20190152/1).
Son successeur -et prédécesseur- Jean-Victor Schnetz, lui succéda début 1853.
Comme pour les directorats précédents, le contenu du fonds Jean Alaux comprends une correspondance abondante entre le directeur et ses tutelles (ministère de l’Intérieur et Académie des beaux-arts), ainsi que de très nombreuses pièces comptables qui permettent un suivi fin de la vie quotidienne à l’Académie de France à Rome, des travaux effectués à la Villa Médicis, de l’entretien des espaces, de l’état de santé des pensionnaires et du coût de la vie à Rome.
Quelques courriers et pièces de correspondance adressés à Victor Schnetz ou produits par ce dernier ont été intégrés dans ce directorat, probablement du temps de Jean Alaux (cf. 20190152/1, 20190152/3).
Les titres des documents sont mis entre guillemets et sont scrupuleusement retranscrits.
Évaluation, élimination et calendrier de conservation
Aucune élimination
Accroissements
Fonds clos
Mode de classement
Le classement reprend celui adopté en 2004, lors de la création de la base de données « Archives de l’Académie de France à Rome XIXe siècle ». De nombreuses publications ayant été rédigées depuis, à partir des cotes et foliotage des documents, il était difficile de reprendre l’ensemble du classement à la lumière des nouvelles découvertes des documents sans rendre complexe, voire impossible, l’accès aux pièces d’archives citées dans ces publications.
Les documents sont décrits pièce à pièce, en suivant le foliotage.
Les numéros des cartons de conditionnement adoptés dans les années 1970, sont indiqués à la fin de la description de l’article afin que les références indiquées dans les publications antérieures facilitent l’accès aux documents.
Zone des conditions d'accès et d'utilisation
Conditions d’accès
Librement communicable
Conditions de reproduction
Selon le règlement de la salle de lecture
Langue des documents
- français
- italien
Écriture des documents
Notes sur la langue et l'écriture
Caractéristiques matérielle et contraintes techniques
Instruments de recherche
20170113 : Académie de France à Rome. Directorat de Joseph-Benoît Suvée (1792-1807)
20170258 : Académie de France à Rome. Registres de la Villa Médicis
20170259 : Académie de France à Rome. Gestion des collections de la bibliothèque
20180071 : Académie de France à Rome. Directorat de Guillaume Guillon dit Lethière (1807-1816)
20180401 : Académie de France à Rome. Directorat de Charles Thévenin (1816-1823)
20180402 : Académie de France à Rome. Directorat de Pierre-Narcisse Guérin (1823-1828)
20180611 : Académie de France à Rome. Directorat d’Horace Vernet (1829-1834)
20180612 : Académie de France à Rome. Directorat de Jean Auguste Dominique Ingres (1835-1840)
20190056 : Académie de France à Rome. Directorat de Jean-Victor Schnetz (1841-1846)
Zone des sources complémentaires
Existence et lieu de conservation des originaux
Existence et lieu de conservation des copies
Unités de description associées
Zone des notes
Identifiant(s) alternatif(s)
Mots-clés
Mots-clés - Sujets
Mots-clés - Lieux
Mots-clés - Noms
Mots-clés - Genre
Zone du contrôle de la description
Identifiant de la description
Identifiant du service d'archives
Magdalena Dżoń et Corinne Jouys Barbelin
Règles et/ou conventions utilisées
Statut
Finale
Niveau de détail
Complet
Dates de production, de révision, de suppression
juillet 2019
Langue(s)
- français
Écriture(s)
Sources
Baudry (Paul), Notice sur la vie et les œuvres de Schnetz, Institut de France. Académie des beaux-arts, 1874.
Guiffrey (Jules), Liste des pensionnaires de l’Académie de France à Rome (…) de 1663 à 1907, Paris, 1908.
Lapauze (Henry), Histoire de l’Académie de France à Rome (1802-1910), Tome 2, Paris, 1924.
Alaux (Jean-Paul), L’Académie de France à Rome. Ses directeurs, ses pensionnaires, Paris, 1933.
Pinon (Pierre), Amprimoz (François-Xavier), Les envois de Rome (1815-1863), Rome, EFR, 1985.
La Villa Médicis, dir. André Chastel, coord. Philippe Morel, Roma, 1989-1991, 3 vol.
Jean-Victor Schnetz (1787-1870). Couleurs d’Italie, dir. Laurence Chesneau-Dupin,Les Cahiers du temps. 2000, 215 p.
L’Académie de France à Rome aux XIXe et XXe siècles. Entre tradition, modernité et création [actes colloque, Rome, Villa Médicis, 1997], Paris/Roma, 2002 (« Collection d’histoire de l’art de l’Académie de France à Rome », 2).
Maestà di Roma. Les artistes français à Rome, d’Ingres à Degas [Rome, Villa Médicis, 2003], dir. Olivier Bonfait, Roma, 2004.
Verger (Annie et Gabriel), Dictionnaire biographique des pensionnaires de l’Académie de France à Rome, 1666-1968; préface d’Éric de Chassey, Dijon, 2011, 3 vol.
Fossier (François), Correspondance de Jean Allaux (1847-1852). Les directeurs de la villa Médicis au XIXe siècle, l’Harmattan, 2018. 427 p.
Objet numérique - métadonnées
Nom du fichier
20190152_alaux.pdf
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Longitude
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Texte
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