Fonds 20180401 - Directorat de Charles Thévenin (1816-1823)

« Rapport de la Commission nommée par l’académie Royale des Beaux arts, sur les ouvrages de peint... Extrait des procès-verbaux des séances des 5 septembre, 17 octobre, 30 octobre et 7 septembre 181... « Rapport et Jugement de l’Académie Royale des Beaux arts, sur les ouvrages de MM. Les pensionnai... « Rapports faits à l’académie Royale des Beaux arts et approuvés par elle sur les ouvrages de MM.... « Rapports faits à l’académie Royale des Beaux arts et approuvés par elle sur les ouvrages de MM.... « Rapports approuvés par l’académie sur les ouvrages des Pensionnaires Sculpteurs et Graveurs qui... « Copie de Lettres. M. Thevenin Directeur. Depuis le 1er Juin 1816. jusqu'à fin 1817. », fol. 39-... « Copie de Lettres. M. Thevenin Directeur. Depuis le 1er Juin 1816. jusqu'à fin 1817. », fol. 39-... « Copie de Lettres depuis Janvier 1818. jusqu'au 7 mai 1821 », fol. 96-158 [cahier de soixante-se... « Copie de Lettres depuis Janvier 1818. jusqu'au 7 mai 1821 », fol. 96-158 [cahier de soixante-se...
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Zone d'identification

Cote

FR ISNI 0000 0001 2158 9529 20180401

Titre

Directorat de Charles Thévenin (1816-1823)

Date(s)

  • 1816 - 1829 (Production)

Niveau de description

Fonds

Étendue matérielle et support

0,6 ml, soit 2 cartons DIMAB
Support papier

Zone du contexte

Nom du producteur

((1666-...))

Histoire administrative

La création de l’Académie de France à Rome coïncida avec la politique des grands travaux entreprise par Louis XIV à la fin du XVIIe siècle, par lesquels furent transformés le Louvre, les Tuileries et Versailles. Créée en 1666, sous l’impulsion de Colbert, de Le Brun et du Bernin, elle accueillait à la fois les artistes ayant remporté le Premier Prix de Rome et des pensionnaires protégés de quelques grands seigneurs. Les jeunes artistes pensionnés par le roi avaient alors la possibilité d’acquérir un complément de formation au contact de Rome et de l’Italie.

A cette époque les pensionnaires, soumis à une discipline rigoureuse, devaient consacrer leur séjour à la réalisation de copies de l’Antique ou de la Renaissance. Aux peintres et sculpteurs s’ajoutèrent en 1720 les architectes. Avant de s’installer à la Villa Médicis, l’Académie de France à Rome connut plusieurs résidences successives : de la modeste maison près de Sant’Onofrio sur les pentes du Janicule elle déménagea au palais Caffarelli (1673), puis au palais Capranica (1684), et enfin au palais Mancini (1725). C’est à cette époque que l’Académie de France accueillit les peintres Boucher, Subleyras, Fragonard, David et des sculpteurs tels que Houdon.
Pendant la Révolution, la charge de directeur fut abolie. Le palais Mancini fut saccagé et pillé par des contre-révolutionnaires romains en février 1793; certains pensionnaires fuirent à Naples ou Florence. A la suite de ces événements, l’Académie de France à Rome fut supprimée. Elle fut rétablie en 1795 par le Directoire, mais il restait à lui trouver un nouveau lieu d’accueil. Le 18 mai 1803, la France et la Cour d’Etrurie décidèrent d’échanger le Palais Mancini contre la Villa Médicis.

En déménageant, l’Académie de France à Rome changea également de statut. Désormais rattachée à l’Institut de France, le concours d’entrée, le «Prix de Rome», était organisé par l’Académie des Beaux Arts. Les musiciens entrèrent à l’Académie de France à Rome avec le prix de composition créé en 1803. Les graveurs la rejoignirent quand fut créé le prix biennal de gravure en taille douce en 1804 et le prix quadriennal de gravure en médailles et pierres fines en 1807. Ces deux disciplines devaient célébrer les victoires napoléoniennes. De 1835 à 1841, Ingres est directeur de la Villa. Les directeurs sont traditionnellement d’anciens pensionnaires, même si cette règle connaît quelques exceptions, par exemple pour Carolus-Duran. Tout au long du XIXe siècle, l’Académie accueille des pensionnaires célèbres comme Victor Baltard, l’architecte des Halles de Paris, Charles Garnier, qui fit construire l’Opéra du même nom à Paris, des compositeurs tels que Berlioz, Bizet, Gounod ou Debussy, des sculpteurs tels que Carpeaux et David d’Angers.

Au début du XXe siècle, avec Lili Boulanger (Grand Prix de Rome de composition musicale en 1913) et Odette Pauvert (Grand Prix de Rome de peinture en 1925), les femmes font leur entrée à l’Académie. Durant la seconde guerre mondiale, la Villa est réquisitionnée par Mussolini. L’Académie est alors transférée à Nice puis à Fontainebleau. En 1961, André Malraux nomme le peintre Balthus à la direction de la Villa. Les deux hommes ont la volonté de réformer profondément l’Académie. Balthus entreprend une grande restauration de l’édifice et organise des manifestations pour ouvrir la Villa aux romains. Il fait aménager, à cette fin, de nouvelles salles d’exposition. Cette nouvelle approche est entérinée par un décret en 1971. L’Académie se détache alors de la tutelle de l’Académie des Beaux-Arts et les principes du concours sont profondément modifiés.

La durée du séjour passe de quatre à deux ans maximum tandis qu’écrivains, cinéastes, photographes, scénographes, restaurateurs d’oeuvres d’art et historiens de l’art agrandissent le cercle des pensionnaires, dont le nombre passe de 12 à 25. Participant aux échanges culturels et artistiques, la Villa Médicis organise des expositions, des concerts, des colloques ou des séminaires sur des sujets relevant des arts, des lettres et de leur histoire. Conçu par le décret de 1971 comme un lieu idéal de rencontres franco-italiennes, la Villa Médicis joue ainsi un rôle décisif au sein de la vie culturelle romaine et européenne. Ces objectifs ont été au cœur des actions de Jean Leymarie (1977-1984), Jean-Marie Drot (1985-1994), Jean-Pierre Angremy (1994-1997), Bruno Racine (1997-2002), Richard Peduzzi (2002-2008), Frédéric Mitterrand (2008-2009), Éric de Chassey (2009-2015) et de Muriel Mayette-Holtz.

Nom du producteur

((1764-1838))

Notice biographique

Fils d’un architecte de la cour, il étudie la peinture à l’Académie royale de peinture et de sculpture auprès de François-André Vincent. Second prix de Rome pour Joseph reconnu par ses frères en 1789, il partage le premier prix en 1791 pour "Régulus retourne à Carthage". Il reçoit alors ses premières commandes et produit en 1790 la première version de La Prise de la Bastille, qui suscite de nombreux commentaires. Il reçoit un second prix au concours de l’an II pour Le 12 juillet 1789.
Après avoir délaissé un temps la peinture historique pour des sujets décoratifs, il produit en 1798 "Augereau au pont d'Arcole", qui inaugure une série de toiles à la gloire de l’Empire. Il part alors pour l’Italie où il séjourne à la villa Médicis et fréquente Dominique Ingres. Il est directeur de l'Académie de France à Rome de 1816 à 1823. De retour à Paris, il est élu membre de l’Académie des beaux-arts en 1825, puis il est nommé conservateur du Cabinet des estampes de la Bibliothèque nationale.

Histoire archivistique

Dispersée dans l’ensemble de la Villa Médicis, les archives anciennes de l’Académie ont connu trois vagues de collectes et de classements liés aux campagnes successives de rassemblement des documents dans les bureaux du département d’Histoire de l’art, à l’époque installés dans le pavillon Carolus-Duran :

  • la première par Monsieur Georges Brunel, alors chargé de mission pour l’histoire de l’art, en 1979, concerne pour l’essentiel les années 1803-1960, avec quelques pièces anciennes antérieures à l’installation de l’Académie à la Villa Médicis [voir Correspondance des directeurs de l’Académie de France, Vol. I : Répertoires, Rome, 1979, p. 17-22]
  • la deuxième à l’initiative de Monsieur Olivier Bonfait, chargé de mission pour l’histoire de l’art entre 1998 et 2004, est en lien avec la réalisation d’un inventaire informatisé sous FileMakerPro 3. La base de données intitulée «Archives de l’Académie de France à Rome XIXe siècle» a été paramétrée avec l’aide de Monsieur Sylvain Mottet. Ce dernier a également conçu le site de consultation en ligne (http://archivesAcadémie de France à Rome.sylvainmottet.fr). Mesdames Isabelle Chave et Isabelle Rouge-Ducos, conservateurs du patrimoine, et Monsieur Martin Kiefer, historien de l’art, ont rédigé les fiches descriptives des documents contenus dans les 128 premières boîtes d’archives. Madame Isabelle Chave rappelle dans son rapport du 31 août 2000 que « le traitement des archives, comprenant le foliotage, la suppression de tout élément métallique, la mise à plat des feuillets de petit format et une organisation cohérente des feuillets en vue de faciliter le travail de mise en fiches, autant que la numérisation future des pièces, a été mené de façon systématique pour chacun des cartons 46 (Schnetz I) à 90 (Hébert I) ». Ce travail avait pour objet d’identifier au plus vite les pièces d’archives pour lutter contre les vols.
  • la troisième, toujours à l’initiative de Monsieur Olivier Bonfait, a été confiée en 2004, à Madame Isabelle Chave, aidée par Madame Angela Stahl, assistante du chargé de mission pour l’histoire de l’art, et par Madame Martine Queneau-Martel, élève de l’École du Louvre. Ce classement couvre la période allant de la fin du directorat de Jacques Ibert (1937-1960) à la fin du directorat de Balthus en 1977. La suite du classement n’a pas donné lieu à informatisation.
    Dans chacun des articles, des pièces ont été ajoutées par Madame Isabelle Chave en 2004, après que ces pièces ont été retrouvées à la bibliothèque. Il a été décidé, alors, de ne pas réinsérer chaque pièce dans sa liasse initiale, à cause du foliotage préexistant.

Source immédiate d'acquisition ou de transfert

Versement

Zone du contenu et de la structure

Portée et contenu

Charles Thévenin est né le 12 juillet 1764 à Paris et décédé le 28 février 1838 à Paris ; comblé de responsabilités et d’honneur de son temps, il est un peintre français qui est resté peu étudié jusqu’à présent.
Fils d’un architecte de la cour, il étudie la peinture à l’Académie royale de peinture et de sculpture auprès de François-André Vincent. Il reçoit ses premières commandes et produit en 1790 la première version de La Prise de la Bastille, qui suscite de nombreux commentaires. Il reçoit un second prix au concours de l’an II pour Le 12 juillet 1789. Ses tableaux historiques, évoquant les scènes de la Révolution, lui a prodigué un certain succès.
Après avoir délaissé un temps la peinture historique pour des sujets décoratifs, il produit en 1798 Augereau au pont d’Arcole, qui inaugure une série de toiles à la gloire de l’Empire. Après avoir tenté une première fois, en 1787, le concours du Grand Prix, il obtient le Second prix de Rome pour Joseph reconnu par ses frères en 1789, puis partage le premier prix en 1791, avec Louis Lafitte, pour Régulus retourne à Carthage. Il montre alors de vraies qualités de dessinateur. Il part en Italie, à Florence, et ne se rend à Rome qu’en 1801, ayant du différé son séjour à cause des émeutes anti-françaises de 1793, et n’ayant obtenu son allocation de voyage qu’en 1798. Durant son temps à Rome, i séjourne à la Villa Médicis et fréquente Dominique Ingres.
Charles Thévenin est nommé directeur de l’Académie de France à Rome en 1816, à l’âge de 52 ans, et prend la suite de Guillaume Guillon-Lethière, Pierre-Narcisse Guérin ayant, à l’origine, été choisi, mais ayant décliné l’offre pour des raisons de santé.
En tant que directeur, Thévenin veille à l’entretien des bâtiments, à la bonne marche de l’établissement et au bien-être de ses habitants. Par ailleurs, il guide les pensionnaires, considérés alors comme des élèves. Son directorat est marqué par un déficit considérable, dû en grande partie aux frais engendrés par les travaux des pensionnaires (moulages des colonnes du Panthéon, transports, décor de l’église de la Trinité-des-Monts…), par les frais occasionnés par les fêtes officielles (illumination des façades) et par les dettes laissées en suspens par son prédécesseur, Guillon-Lethière (20180401/1, 20180401/2, 20180401/3, 20180401/4, 20180401/7). Son directorat est marqué également par la commande de tableaux faite par le comte de Blacas aux pensionnaires peintres dans le cadre de la restauration de l’église de la Trinité-des-Monts (20180401/1, 20180401/2). Certains manquements au règlement par des pensionnaires, comme celui de James Pradier (20180401/2), ponctuent son temps à la Villa Médicis. En 1820, il travaille à la rédaction d’un nouveau règlement de l’établissement, qui est mis en vigueur par ordonnance royale le 26 janvier 1821. Ses liens sont constants avec l’Académie des beaux-arts, comme le prouve les très nombreux courriers échangés avec Quatremère de Quincy, son secrétaire perpétuel. Il est nommé chevalier de la Légion d’honneur en 1819 (20180401/2).
Charles Thévenin quitte Rome le 14 juillet 1823. De retour à Paris, alors que son directorat s’est achevé fin 1822, Charles Thévenin est élu membre de l’Académie des beaux-arts en 1825, en remplacement du peintre Girodet, puis il est nommé conservateur du Cabinet des estampes de la Bibliothèque du Roi, et conservateur des tableaux du château de Versailles en 1828-1829.
Les titres des documents de ce fonds d’archives ont été scrupuleusement retranscrits à l’identique.
Les pièces constitutives du fonds Thévenin ont été souvent citées dans des publications scientifiques sous leur ancienne cote (numéro du carton de conservation et numéro de folio). C’est la raison pour laquelle cette dernière est indiquée dans la description des articles et que l’ordre des documents a été repris tel que trouvé dans les liasses afin de respecter le foliotage.
Dans chaque carton, les feuillets des documents ont été foliotés ou paginés depuis de longues années. Cependant, les règles de foliotage montrent des pratiques sensiblement différentes d’un carton à l’autre, voire dans un même carton. Les liasses présentent très fréquemment l’utilisation de pochettes et sous-pochettes formées par des pièces d’archives contemporaines des autres documents. Ces derniers sont souvent « emboîtés » les uns dans les autres, avec un foliotage continu, d’une page à l’autre, sans que soit pris en compte la matérialité de chaque pièce. Ces « assemblages » ont été conservés afin de respecter le classement initial, probablement institué par le directeur de l’Académie de France à Rome.

Évaluation, élimination et calendrier de conservation

Aucune élimination

Accroissements

Fonds clos

Mode de classement

Le classement reprend celui adopté en 2004, lors de la création de la base de données « Archives de l’Académie de France à Rome XIXe siècle ». De nombreuses publications ayant été rédigées depuis à partir des cotes et foliotage des documents, il était difficile de reprendre l’ensemble du classement à la lumière des nouvelles découvertes des documents sans rendre complexe, voire impossible, l’accès aux pièces d’archives citées dans ces publications.
Ainsi trouvera-t-on l’expression « Carton…» pour désigner le conditionnement initial.

Zone des conditions d'accès et d'utilisation

Conditions d’accès

Librement communicable

Conditions de reproduction

Selon règlement de lecture

Langue des documents

  • français
  • italien

Écriture des documents

Notes sur la langue et l'écriture

Caractéristiques matérielle et contraintes techniques

Instruments de recherche

20170113 : Académie de France à Rome. Directorat de Joseph-Benoît Suvée (1792-1807)
20170258 : Académie de France à Rome. Registres de la Villa Médicis
20170259 : Académie de France à Rome. Gestion des collections de la bibliothèque
20180071 : Académie de France à Rome. Directorat de Guillaume Guillon dit Léthière (1807-1816)
20180402 : Académie de France à Rome. Directorat de Pierre-Narcisse Guérin(1816-18

Zone des sources complémentaires

Existence et lieu de conservation des originaux

Existence et lieu de conservation des copies

Unités de description associées

Archives nationales:
F/21/613 : Administration des Beaux-Arts, 2e volume (XIXe siècle). Administration générale : correspondance des directeurs. 1792-1879
F/21/5827 – F/21/5832 : Académie de France à Rome : Villa Médicis.
AJ/52/192 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Règlements des concours aux Grands Prix de l’Académie royale des Beaux-Arts, suivis des règlements pour les pensionnaires de l’Académie de France à Rome. Sans date [avant 1845].
AJ/52/441 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Correspondance générale reçue, provenant essentiellement du ministère de tutelle 1. An VIII-1830.
An VIII-an XI. [1799-1803].
AJ/52/1136 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Travaux des pensionnaires envoyés à Paris, contrôle exercé par l’Académie des Beaux-Arts. 1806-1898 et sans date
AJ/52/1390 : Archives de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Académie de France à Rome. Premiers Grands Prix de peinture, sculpture et architecture, de gravure en taille-douce, en médailles, en pierres fines et de paysage historique, depuis la fondation, 1664-1968. Publication lithographiée donnant les noms des lauréats, avec des observations, jusqu’en 1850. Registre tenu à jour en manuscrit jusqu’en 1968.
20150162/346 : Résidences royales, commandes et acquisitions (ancienne cote : Archives des Musées nationaux, 38DD1)

Descriptions associées

Zone des notes

Identifiant(s) alternatif(s)

Mots-clés

Mots-clés - Sujets

Mots-clés - Lieux

Mots-clés - Noms

Mots-clés - Genre

Zone du contrôle de la description

Identifiant de la description

Identifiant du service d'archives

Magdalena Dżoń et Corinne Jouys Barbelin

Règles et/ou conventions utilisées

Statut

Niveau de détail

Dates de production, de révision, de suppression

2018

Langue(s)

Écriture(s)

Sources

Guiffrey (Jules), Liste des pensionnaires de l’Académie de France à Rome (…) de 1663 à 1907, Paris, 1908.
Lapauze (Henuméroy), Histoire de l’Académie de France à Rome, Paris, 1924, 2 vol.
Alaux (Jean-Paul), L’Académie de France à Rome. Ses directeurs, ses pensionnaires, Paris, 1933.
La Villa Médicis, dir. André Chastel, coord. Philippe Morel, Roma, 1989-1991, 3 vol.
L’Académie de France à Rome aux XIXe et XXe siècles. Entre tradition, modernité et création [actes colloque, Rome, Villa Médicis, 1997], Paris/Roma, 2002 («Collection d’histoire de l’art de l’Académie de France à Rome», 2).
Maestà di Roma. Les artistes français à Rome, d’Ingres à Degas [Rome, Villa Médicis, 2003], dir. Olivier Bonfait, Roma, 2004.
Debauve (Jean-Louis), «Autour de quelques lettres italiennes de François Cacault», Mémoires de la Société d’histoire et d’archéologie de Bretagne, 2004, tome 82, p. 151-167.
Le Normand-Romain (Antoinette), Fossier (François), Korchane (Mehdi), Correspondance des directeurs de l’Académie de France à Rome. Pierre-Narcisse Guérin (1823-1828), t. IV, Troyes, Librairie Le Trait d’Union, 2005.
Macé de Lépinay (François), « Autour de “La Fête de la Fédération”, Charles Thévenin et la Révolution 1789-1799 », in Revue de l’Art, 1989, volume 83, p. 51-60.
Macé de Lépinay (François), « Cinq vues des filatures de Richard-Lenoir », in Mélanges offerts à Pierre Arizzoli-Clémentel, 2009, p. 195-203.
Verger (Annie et Gabriel), Dictionnaire biographique des pensionnaires de l’Académie de France à Rome, 1666-1968; préface d’Eric de Chassey, Dijon, 2011, 3 vol.
Procès-verbaux de l’Académie des Beaux-Arts, dir. Jean-Michel Leniaud, Paris, 2001-2004, 5 vol. [I. 1811-1815, éd. A. Goudail et C. Giraudon; II. 1816-1820, éd. C. Giraudon. III. 1821-1825, éd. B. Bouvier et Fr. Fossier; V. 1830-1834, éd. Fr. Naud; VI. 1835-1839, éd. B. Bouvier et D. Massounie].

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Sujets associés

Personnes et organismes associés

Genres associés

Lieux associés